C’est le thème développé dans le dernier Faire-Face.
80 % des handicaps ne se voient pas. Ni fauteuil roulant, ni canne blanche, ni quoi que ce soit laissant supposer l’existence d’une déficience. Sclérose en plaques, épilepsie, maladie rare, trouble cognitif, sensoriel, psychique, autisme…
les handicaps invisibles ont pourtant de graves conséquences pour celles et ceux qui en sont atteints. Liées à leur état de santé – grande fatigue, perte d’équilibre, de mémoire, douleurs…, et au manque de prise en compte dans la sphère familiale, amicale, professionnelle et la société dans son ensemble.
Faut-il parler de son handicap invisible ou ne pas le faire ? Comment en obtenir la reconnaissance administrative ? Sociétale ? Quelles aides, dispositifs solliciter ? À qui s’adresser ? Et ainsi mieux défendre ses droits.
Commentaires
Bonjour, les handicapés de maladies invisibles sont souvent pris pour des gens qui veulent vivre sans travailler on est catalogué (a vous les faux chomeurs et j'en passe)alors que souvent on s'est battus pour avoir le droit de vivre et de reconnassance mais parfois on est obligés de lacher prise car notre corps nous rappelle a la triste réalité notre handicap.Douleurs malaise,fatigue,migraine.Et ses toutes petites choses comme se souvenir de faire une lettre administative,faire et suivre ses comptes en banque et j'en passe.Oui c'est dure d'être malade surtout qu'en ça ne se voit pas.